Société Commerciale des Transports et des Ports « S.C.T.P. SA », Etablissement public à caractère industriel et commercial, doté de la personnalité juridique, exploite et gère une chaîne intégrée des transports composée de 3 Ports Maritimes (Matadi, Boma et Banana), du Port fluvial de Kinshasa, du Chemin de Fer Matadi-Kinshasa (CFMK) long de 366 Km, d’un réseau fluvial long de 12.000 Kms, de plusieurs Ports Fluviaux et de 3 Chantiers Navals (N’Dolo, Boma et Boyera) a pour objet social :
– L’exploitation des services de transport multimodal combiné ou non des personnes, des marchandises ou d’autres objets quelconques par eau, par chemin de fer et par route ;
– L’exploitation des ports et des services accessoires et connexe
– L’activité et la gestion des chantiers navals
PORTS MARITIMES
Dans la réalisation de leurs missions, les Ports Maritimes offrent des services aux navires et aux marchandises. Il s’agit de Services Rendus aux navires :
- L’arrimage ou ensemble des opérations d’assistance à l’amarrage et/ou désamarrage des navires dans nos Ports est effectué par les agents SCPT SA ou du Pool des marins ,
- Le rôle de la Police Maritime dans le Bief Maritime de la RDC consiste à s’assurer de « l’existence à bord de tout navire d’un équipage, d’un certificat de jaugeage, des titres de sécurité et de la liste des passagers ;
La sûreté Portuaire relevant de la SCTP SA et exercée un ASIP ou PFSO permet la coordination des activités de sûreté portuaire ;
Pour rendre accessible la République Démocratique du Congo au commerce maritime international par biais les Ports de Banana, de Boma et de Matadi et ce via le bief maritime du fleuve Congo, le Département des Ports Maritimes se charge de la gestion de ceux-ci ainsi que du trafic fluvial entre les villes de Boma et de Banana. L’hinterland de ces trois ports couvre presque la totalité du territoire de la RDC et déborde même sur certains pays de l’Afrique Centrale
Accueil du navire


Port de Matadi
Le plus important port maritime de la République Démocratique du Congo avec environ 80 % du trafic international enregistré dans le corridor Sud-ouest. Actuellement, il se spécialise de plus en plus au trafic conteneurisé qui enregistre un fort de taux de croissance depuis 2002.

Port de Banana
Depuis l’implantation des industries d’extraction pétrolière à Moanda au début des années 1970, les activités du Port de Banana sont presqu’exclusivement orientées aux déchargements et chargements des matériels et produits destinés à l’extraction pétrolière onshore et offshore.

Port de Boma
Initialement destiné à l’exportation des ressources naturelles (produits forestiers et agricoles) de la région de Mayombe , le Port de Boma est de plus en plus spécialisé au trafic roulier (véhicules), le trafic des marchandises conteneurisées y prend aussi de l’ampleur.




Le Département des Ports Maritimes se charge de la gestion de l’accessibilité de la RDC ainsi bien du trafic fluvial entre les villes de Boma et de Banana. L’hinterland de ces trois ports couvre presque la totalité du territoire de la RDC et déborde même sur certains pays de l’Afrique Central.

Chantiers Navals
Avec ses trois Chantiers Navals de N’dolo, Boma et Boyera, ce Département se charge des travaux de carénage, de construction navale, de transformation des unités navales et des travaux d’ateliers (Mécanique, Diesel, Chaudronnerie, d’ajustage, de menuiserie et autres)..

Ports et Transports Fluviaux
Le réseau fluvial et autres voies d’eaux intérieurs exploités par la SCTP couvre environ 12.600 Km excepté le bief maritime.

Chemin de Fer
Véritable voie principale d’évacuation des produits venant de l’intérieur du pays et d’acheminement des marchandises et matériels déchargés au Port de Matadi, le Chemin de Fer reste un partenaire privilégié grâce ses atouts d’évacuation de masse à faible prix.

Heading Four
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Activite de la SCTP sa
En vertu des pouvoirs qui lui avaient été conférés par les arrêtés royaux Belges de 20 avril et 17 juillet 1935, ainsi que ceux de 19 mai et 13 juillet 1936, l’OTRACO avait pour objet l’exploitation des services de transport et de manutention, ainsi que des services connexes et accessoires qui lui étaient conférés par l’Etat.Sa mission principale consistait à réaliser une coordination efficace des moyens de transport entre la Cuvette du Congo et les ports maritimes de l’Atlantique.De 1935 à 1959, l’OTRACO déploya des efforts considérables de rééquipement, et réalisa un chiffre d’affaires élevé. La période de troubles de 1960 à 1965 provoqua une chute brutale du trafic. Après relance, l’année 1968 fut la meilleure de toutes celles qui ont suivi l’accession du Congo à l’indépendance.En 1971, sous le vent de la politique du recours à l’authenticité, l’OTRACO devint, l’Office National des Transports (ONATRA). Le 2 décembre 1974, à la création de la Société Nationale des Chemins de Fer du Zaïre –SNCZ, l’ONATRA lui céda son réseau ferroviaire du Kivu et du Shaba, mais garda provisoirement la gestion du Chemin de Fer Matadi – Kinshasa (CFMK) et celle du chemin de fer Mayumbe (C.F.M).En 1975, le législateur libéralisa le transport fluvial, retirant à l’ONATRA le monopole de l’exploitation, et autorisant à toute personne physique ou morale à devenir armateur. L’ONATRA vit baisser considérablement son trafic passagers suite à la concurrence et à la dégradation générale de ses services.Pendant les dernières guerres que connut la RDC, le fleuve Congo fut inexploitable au delà de Mbandaka. Et, depuis 2003, le trafic reprend peu à peu vers Kisangani et vers le nord par l’Ubangui.
Chantiers Navals
Avec ses trois Chantiers Navals de N’dolo, Boma et Boyera, ce Département se charge des travaux de carénage, de construction navale, de transformation des unités navales et des travaux d’ateliers (Mécanique, Diesel, Chaudronnerie, d’ajustage, de menuiserie et autres).

PORTS ET TRANSPORTS FLUVIAUX
Le réseau fluvial et autres voies d’eaux intérieurs exploités par la SCTP couvre environ 12.600 Km excepté le bief maritime

CHEMINS DE FER
Véritable voie principale d’évacuation des produits venant de l’intérieur du pays et d’acheminement des marchandises et matériels déchargés au Port de Matadi, le Chemin de Fer reste un partenaire privilégié grâce ses atouts d’évacuation de masse à faible prix.
